Y'a quand même du positif...
* News *
Tout d'abord, merci à tous de vos messages de soutien... Pour la petite histoire, maintenant que j'arrive un peu à m'en remettre, sachez que je suis syndiquée, donc niveau accompagnement et soutien, j'ai ce qu'il faut et il y a des tas d'actions de prévues (notamment une pétition). Mes collègues me soutiennent énormément, et tout le monde se demande encore pour quelle raison j'ai été virée de cette manière, et personne n'en trouve une seule. Nous arrivons tous à la même conclusion: Vu qu'elle nous fait la gueule depuis le 29/01, date de la grève où nous étions 17/21 à la faire, on suppose qu'elle a voulu se débarasser de moi. Reste à savoir de quelle manière elle y est arrivée, et ça nous le saurons vendredi, jour de mon entretien préalable au licenciement.
Ce qui est marrant, c'est que quand tu travailles, tu cours après le temps. Tu n'as jamais le temps de faire quoique ce soit. Et bien quand tu ne travailles plus, tu te dis que tu vas pouvoir faire plein de trucs que tu ne pourrais pas faire d'habitude: faire du sport (l'espoir fait vivre), visiter des musées, faire ses courses pendant les heures creuses, faire de la couture, aller au cinéma, trier toutes les photos numériques, finir ses albums de scrap digital, etc.
Et bien non. Je ne fais rien. C'est abusé, je suis même partie faire les courses à 19h30 ce soir. Vous voulez pas me mettre un bon coup de pieds aux fesses? Ou écrire un peu plus sur vos blogs? nan parce que je m'ennuie en fait là :-)